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« On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée qui l’a créé » Albert Einstein
Pourquoi grâce à la compréhension de l’atome, peut-on parler « d’ être énergétique » et d’interconnexion ?
L’origine du nom atome vient du philosophe du nom de Démocrite au Vème siècle après J.C qui a affirmé et démontré que les plus petites parties de l’univers ne peuvent pas être découpées. En grec « atome » signifie insécable et serait la plus petite particule de l’univers les atomes.
Cependant à la fin du XIXème siècle, les physiciens ont découvert qu’il y avait quelque chose à l’intérieur, les protons, les électrons et les neutrons. Un électron et un proton sont de petits tourbillons d’énergie. Les protons (charge positive) et les neutrons (charge neutre) sont au centre de l’atome et constituent ce que l’on appelle le noyau. Les électrons (charge négative) sont autour du noyau et constituent ce que l’on appelle le cortège électronique.
La charge électrique d’un atome est nulle, ni positive ni négative car la charge est la somme du même nombre d’électrons et de protons, les charges s’annulent. Ces atomes composés de charge positives et négatives sont en mouvement permanent !
En quoi cela est-il totalement fascinant ? Car la définition de l’énergie, c’est d’être constituée d’ondes invisibles de charges positives et négatives qui se déplacent dans l’espace.
Un atome est donc un générateur d’ondes électriques car lorsqu’il tourne, les différentes charges autour de l’atome sont réfléchis par les ondulations qui émanent de cet atome en rotation. Les atomes ne sont donc pas des particules physiques, c’était une illusion !
« La réalité est simplement une illusion quoique très persistante. » Albert Einstein
Maintenant que nous comprenons que l’atome est de l’énergie, nous devons arrêter de percevoir l’atome comme une particule physique.
Nous sommes donc composés d’énergie en mouvement, comment pouvons-nous être visibles ? C’est une sorte d’effet de lumière. La lumière envoie des photons depuis sa source et quand les photons atteignent le champ d’énergie ils sont réfléchis. Nous percevons alors la réflexion de la lumière.
Autrement dit ? On ne peut pas me voir dans le noir et quand on me voit dans la lumière on ne me voit pas vraiment ! ce que l’on voit ce sont des photons de lumière qui se reflètent sur la surface de mon corps. A l’échelle microscopique, nous sommes de de l’énergie !
En quoi cela est-il fascinant ? Cela nous ouvre la possibilité de réaliser que ce que l’on perçoit comme matière n’est pas seulement influencé par d’autres formes de matières. Ce que l’on voit est également influencé par tous les champs énergétiques qui nous entourent, étant donné que la matière est constitué microscopiquement d’énergie.
Cela signifie donc que les signaux qui dirigent notre vie ne sont pas forcément les lois de la physiques newtonienne et de la chimie classique et que l’on doit prendre en compte les signaux énergétique.
Sommes-nous donc en tant qu’être énergétique, tous interconnectés ?
Les atomes sont comme des gouttelettes qui percutent l’eau et provoquent des ondulations autour d’elle. Nous pouvons alors comparer ces gouttelettes à un atome et les ondulations qui l’entourent représentent l’énergie qui s’en échappe.
Par conséquent, les atomes dégagent de l’énergie, donc toute chose dégage de l’énergie.
Or l’énergie n’a pas de limite comme on peut le comprendre dans le domaine physique car elles se propagent sur de longues distances.
Selon notre perspective matérielle du monde, nous voyons les objets comme étant séparés et distincts les uns des autres mais selon la perspective de la physique quantique tout est énergie et tout est interconnecté.
En effet, de par nos atomes comme nous venons de le voir, nous rayonnons de l’énergie et nous absorbons de l’énergie. D’ailleurs quand nous regardons le tableau périodique des éléments, il existe ce qu’on appelle le spectre d’absorption. Ce spectre démontre que chaque élément étant un atome de type différent a une fréquence vibratoire unique.
Les énergies interagissent tout comme des gouttes de pluie. Les gouttes de pluie tombent sur un étang et forment des ondulations à partir de chaque goutte, ces ondulations fusionnent et se modifient les unes avec les autres.
Visualisons cette expérience : nous prenons deux pierres de la même taille, nous les plaçons exactement à la même hauteur au-dessus de l’eau et nous les laissons tomber exactement au même moment. Résultat les ondulations dans l’eau qui représentent l’énergie se rapprochent les unes des autres. Que se passe-t-il lorsque deux séries d’ondulations se rencontrent ? c’est ce qu’on appelle une interférence : les valeurs des vagues s’additionnent. Si elles sont en phase, c’est ce qu’on appelle l’interférence constructive mais si on jette les pierres de manière décalée, alors les ondes sont en interférences destructives.
Donc quand deux petites ondulations se rejoignent en interférence constructive, elles créent une plus grande ondulation car on ajoute la valeur de chaque vague. Si l’ondulation est plus grande il y a plus d’énergie, la hauteur de l’ondulation représentant sa puissance énergétique. Peut-on faire le lien avec le ressenti intuitif des « bonnes ondes ou des mauvaises ondes » lorsque l’on pénètre dans un lieu par exemple ?
Afin d’illustrer à nouveau la façon dont le champ d’énergie qui nous entoure façonne notre réalité physique, nous pouvons faire une expérience simple. Prenons de la limaille de fer (poussière de fer) et nous la saupoudrons au-dessus d’une feuille de papier à l’aider d’une salière. Reproduisons l’expérience sur une autre feuille. Nous obtenons deux tas de limaille de fer répartis de manière aléatoire. Si nous plaçons ensuite un aimant sous cette feuille de papier, la limaille se réorganiser, nous permettant de visualiser le champ magnétique.
Nous pouvons donc émettre l’hypothèse que nos champs d’énergie explicités plus haut qui interfèrent entre eux ont donc un impact sur l’ensemble de notre structure physique et donc l’expression de nos gènes. Ce serait alors un explication possible quant au fait qu’une personne porteuse d’un gène favorisant un cancer l’exprime ou ne l’exprime pas durant sa vie.
Selon Sir James Jeans, un physicien, astronome et mathématicien britannique du début du XXème siècle: «Le courant de la connaissance se dirige vers une réalité non mécanique, L’univers commence à ressembler davantage à une grande pensée qu’à une grande machine. L’esprit ne semble plus être un intrus accidentel dans le domaine de la matière… nous devrions plutôt le saluer en tant que créateur et gouverneur du royaume de la matière. L’Univers est immatériel, mental et spirituel. »
« Le champ est la seule chose qui gouverne la particule. Ainsi donc, c’est l’énergie (le champ) qui gouverne la matière (la particule). » Albert Einstein
Dans le prochain épisode, nous parlerons d’une seconde hypothèse limitante qui consistait à croire que nos gènes nous déterminaient, alors que l’épigénétique nous démontre le contraire et nous rend notre liberté.