Efficacité de la méditation

 

Sur cette page, découvrez quelques études cliniques sur la méditation en pleine conscience et son impact direct ou indirect sur la santé.

 

Impact sur les marqueurs neurobiologiques

  1. Impact positif sur les marqueurs neurobiologiques de l’inflammation comme l’Interleukin 6 ou la connectivité fonctionnelle du réseau neuronal au repos : Creswell et al, 2016.
  2. Épigénétique et modulation de l’expression des gènes qui régulent la longueur des télomères qui sont des séquences d’ADN au bout des chromosomes. En vieillissant, les télomérases raccourcissent, c’est un indicateur de l’âge biologique : Perla Kaliman et l’ensemble de ses travaux, Conklin et al, 2018.
  3. Diminution de la réactivité du système nerveux autonome avec une diminution des niveaux de cortisol : Tang et al, 2007.

Il existe de nombreuses études qui ont montré un impact sur d’ autres paramètres biologiques comme les taux plasmatiques de sérotonine par exemple…

 
 

Impact sur la sante physique

La méditation influence de façon positive les fonctions immunitaires, diminue la tension artérielle : Carlson et al, 2007 et a un impact sur différents troubles : syndrome du colon irritable, fatigue chronique, hyperphagie associée au stress : Germer 2013. Selon la méta-analyse de Cillessen et al. (2019), les interventions basées sur la pleine conscience réduisent la détresse des patients souffrant du cancer.

Impact sur la santé psychique

Les interventions basées sur la pleine conscience diminuent l’anxiété, il y a de très nombreuses études qui le montrent comme par exemple : diminution sur le niveau anxieux généralisé : méta-analyse Chiesa et Serretti, 2011. Réduction du stress durant les examens : Galante, 2017. Amélioration du sommeil objectivée chez les patients anxieux : Shapiro et al, 2003.

La méditation a aussi un impact démontré d’un point de vue clinique sur la prévention des rechutes dépressives. La majorité des études a comparé l’efficacité de la Mindfulness Based Cognitive Therapive (MBCT) et du traitement usuel. Les résultats montrent que l’effet de la méditation sur la prévention des rechutes dépressives, sur les symptômes dépressifs, les comorbidités ou la qualité de vie est aussi efficace que le maintien des antidépresseurs ! Kuyken 2015 ; Galante 2017, Sega et al 2020… Le taux de rechute est diminué de 50% Bondolfi et al, 2009, Chiesa et Serretti 2011.

La méta-analyse de Sancho et al. 2018 montre que la méditation réduit la dépendance, le craving, les symptômes dépressifs et régule les émotions chez les personnes atteintes de dépendance. C’est pourquoi des programmes tels que : MBRP (Mindfulness Based Relapse Prevention), MORE : Mindfulness-Oriented Recovery Enhancement ("meilleure récupération de la pleine conscience"), MTS : Mindfulness Training for Smockers basés sur la pleine conscience et dérivés de la MBSR sont mis en place par des psychiatres et psychologues dans des centres d’addiction en France.

Des programmes en France sont aussi mis en place dans certaines structures hospitalières ou des centres de prise en charge afin d’améliorer la prise en charge des troubles de la conduite alimentaire : Programme MB-EAT (Kirsteller et Halett, 1999).

Tous ces programmes sont basés sur des techniques de méditation en pleine conscience.

Efficacité de la méditation

Sur cette page, découvrez quelques études cliniques sur la méditation en pleine conscience et son impact direct ou indirect sur la santé.

Impact sur les marqueurs neurobiologiques

  1. Impact positif sur les marqueurs neurobiologiques de l’inflammation comme l’Interleukin 6 ou la connectivité fonctionnelle du réseau neuronal au repos : Creswell et al, 2016.
  2. Épigénétique et modulation de l’expression des gènes qui régulent la longueur des télomères qui sont des séquences d’ADN au bout des chromosomes. En vieillissant, les télomérases raccourcissent, c’est un indicateur de l’âge biologique : Perla Kaliman et l’ensemble de ses travaux, Conklin et al, 2018.
  3. Diminution de la réactivité du système nerveux autonome avec une diminution des niveaux de cortisol : Tang et al, 2007.

Il existe de nombreuses études qui ont montré un impact sur d’ autres paramètres biologiques comme les taux plasmatiques de sérotonine par exemple…

Impact sur la sante physique

La méditation influence de façon positive les fonctions immunitaires, diminue la tension artérielle : Carlson et al, 2007 et a un impact sur différents troubles : syndrome du colon irritable, fatigue chronique, hyperphagie associée au stress : Germer 2013. Selon la méta-analyse de Cillessen et al. (2019), les interventions basées sur la pleine conscience réduisent la détresse des patients souffrant du cancer.

Impact sur la santé psychique

Les interventions basées sur la pleine conscience diminuent l’anxiété, il y a de très nombreuses études qui le montrent comme par exemple : diminution sur le niveau anxieux généralisé : méta-analyse Chiesa et Serretti, 2011. Réduction du stress durant les examens : Galante, 2017. Amélioration du sommeil objectivée chez les patients anxieux : Shapiro et al, 2003.

La méditation a aussi un impact démontré d’un point de vue clinique sur la prévention des rechutes dépressives. La majorité des études a comparé l’efficacité de la Mindfulness Based Cognitive Therapive (MBCT) et du traitement usuel. Les résultats montrent que l’effet de la méditation sur la prévention des rechutes dépressives, sur les symptômes dépressifs, les comorbidités ou la qualité de vie est aussi efficace que le maintien des antidépresseurs ! Kuyken 2015 ; Galante 2017, Sega et al 2020… Le taux de rechute est diminué de 50% Bondolfi et al, 2009, Chiesa et Serretti 2011.

La méta-analyse de Sancho et al. 2018 montre que la méditation réduit la dépendance, le craving, les symptômes dépressifs et régule les émotions chez les personnes atteintes de dépendance. C’est pourquoi des programmes tels que : MBRP (Mindfulness Based Relapse Prevention), MORE : Mindfulness-Oriented Recovery Enhancement ("meilleure récupération de la pleine conscience"), MTS : Mindfulness Training for Smockers basés sur la pleine conscience et dérivés de la MBSR sont mis en place par des psychiatres et psychologues dans des centres d’addiction en France.

Des programmes en France sont aussi mis en place dans certaines structures hospitalières ou des centres de prise en charge afin d’améliorer la prise en charge des troubles de la conduite alimentaire : Programme MB-EAT (Kirsteller et Halett, 1999).

Tous ces programmes sont basés sur des techniques de méditation en pleine conscience.

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